Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll
4ème de couverture
Assise au bord de la rivière, Alice s'ennuyait un peu quand soudain, venu de nulle part, surgit un lapin blanc pressé de regagner son terrier. N'hésitant pas à le suivre, Alice pénètre dans un monde de prodiges et de menaces qui n'est autre que le royaume de l'enfance. Et voici le chat de Cheshire à l'étrange sourire, la terrible Reine de Coeur, le Chapelier fou et le Lièvre de Mars, la Fausse Tortue et le Valet-Poisson...
Mon avis
Alors Alice...
Alice, je l'ai lue il y a des années, et je l'avais trouvée vraiment, vraiment bizarre. Plus encore que dans l'adaptation Disney (le dessin animé) vue a priori à un âge où ce n'était pas forcément une bonne idée (pour moi, ce n'est pas pour enfant).
Aujourd'hui... il ne me paraît plus si bizarre (je m'en inquiète un peu car... qu'est-ce que cela indique de ma psychologie ?). Dès le début, dès que l'on commence à suivre le lapin blanc, il faut mettre la raison aux oubliettes, la jeter dans le tunnel avant de s'y jeter soi-même, pour apprécier ce monde complètement absurde, ces personnages déjantés.
C'est unique, vraiment.
Pétales semés pour aller plus loin
- La persistance de la mémoire de Dali